domingo, 27 de octubre de 2013


NOAM CHOMSKY

LINGUISTIQUE GENERATIVE ET LE STRUCTURALISME:


La linguistique générative regroupe un ensemble de théories développées à partir des années 1950 par le linguiste américain Noam Chomsky. Elle s'oppose à la fois au béhaviorisme et au structuralisme.
La théorie générative se distingue des autres traditions en faisant la distinction compétence / performance, qui distingue la capacité langagière de l'acte de parole. Ainsi, selon cette orientation, chaque locuteur possède un « organe linguistique spécialisé » (« Language Acquisition Device ») permettant l'analyse et la production des structures complexes formant le discours. En d'autres mots, chaque langue forme une structure observable, résultat d'un système inné (comprendre « génétique ») universellement partagé. Il revient à la linguistique générative, dès lors, de comprendre la structure et le comportement de ce système.
En fait, selon Chomsky, le but de la linguistique est de définir les paramètres de variation entre les langues, car selon son approche, la variation linguistique n'est pas un fait du hasard. Au sein de cette approche, on trouve la théorie standard (TS), la théorie standard étendue (TSE) et la théorie minimaliste, qui est encore d'actualité.
Contrairement à certaines idées, le cadre de la théorie générative dépasse l'étude du système syntaxique : elle englobe tout le processus linguistique. Le fait que la majorité des travaux s'inscrivent dans le domaine syntaxique s'explique par un choix méthodologique puisque l'on pense que ce domaine est plus facile à isoler des autres phénomènes cognitifs.

FRANZ BOAS




Sur le structuralisme de Boas.


Franz Boas

En linguistique descriptive, les spécialistes recueillent des données auprès de locuteurs natifs ; ils analysent les composants de leurs discours et organisent les données en fonction de niveaux hiérarchiques distincts : phonologie, morphologie et syntaxe. Ce type d’analyse a d’abord été effectué par Franz Boas et par Edward Sapir quand ils décrivirent les langues amérindiennes qui n’étaient pas encore consignées. Contestant les méthodes et les techniques de description linguistique qui s’appuyaient sur les textes écrits, ils élaborèrent des méthodes permettant d’identifier les sons distincts ou signifiants d’une langue et les unités minimales de combinaisons de sons porteuses de sens (par exemple, les racines des mots et les affixes).

jueves, 24 de octubre de 2013



SAPIR ET BLOOMFIELD

SLIDES ICI:
http://www.slideshare.net/MarcelaVillarroel1/sapir-y-bloomfield
STRUCTURALISME; THE LINGUISTIC SIGN

http://www.youtube.com/watch?v=6hi-H29jAgw
UNE PRÉSENTATION DE PREZI SUR LE STRUCTURALISME


voir la présentarion,le link ici:
http://www.youtube.com/watch?v=TDuf1msoblM&list=TLOeu5CBwHuSdLE3mrEAA_TT3uUX7unU9T
VIDÉO EN ESPAGNOL

les structuralisme, ici le link:
http://www.youtube.com/watch?v=FiPYdtYNnBI

QUE SAIS-JE?

Le livre qui s'appelle " Que sais-je?"  de l'auteur Sylvan Auroux, assez intéresssant , parle sur le structuralisme, nous pouvons le lire dans le suivante link:

http://www.puf.com/Que_sais-je:Le_structuralisme



QUELQUES CRITIQUES AU STRUCTURALISME:



  • son analyse tend à laisser de coté l’histoire de l’homme et à ne pas tenir compte de l'individualité dans l’action humaine.
  • les hypothèses de départ (généralisation du modèle linguistique de Ferdinand de Saussure) ont été érigées en dogme et ne sont plus remises en cause loin de toute approche scientifique.

D'OÙ PROVIENT LA DÉFINITION " STRUCTURALISME " ?

Etymologie : du latin structura construction, maçonnerie. En science humaine (anthropologie, psychologie, sociologie, linguistique, etc.), le structuralisme est un courant de pensée qui considère la réalité sociale comme un ensemble formel de relationsLe structuralisme s'inspire du modèle linguistique, notamment du "Cours de linguistique générale" deFerdinand de Saussure (1916) qui appréhende toute langue comme un système dans lequel chacun des éléments n'est définissable que par les relations d'équivalence ou d'opposition qu'il entretient avec les autres, cet ensemble de relations formant la "structure".Dans les années 1960, 

Le structuralisme devient un courant de pensée des sciences humaines pour lequel les processus sociaux sont issus de structures fondamentales qui sont le plus souvent non conscientes. Il privilégie la totalité par rapport à l'individu considéré comme indissociable de la structure globale, la synchronicité des faits plutôt que leur évolution ainsi que les relations qui unissent ces faits plutôt que les faits eux-mêmes.


Les principaux auteurs et penseurs structuralistes sont : Claude Lévi-StraussLouis AlthusserJacques Lacanda.Michel Foucault et Jacques Derri.

LE STRUCTURALISME AMÉRICAIN ET LINGUISTIQUE - ENCYCLOPEDIE.

Vous pouvez regarder l'encyclopédie ici:
http://www.universalis.fr/encyclopedie/structuralisme/1-le-structuralisme-linguistique/

domingo, 20 de octubre de 2013

Qu'est ce que le structuralisme?

Le structuralisme n'est pas une école de pensée facilement identifiable. À la fin des années 1950, la référence au concept de structure est générale dans le champ des sciences humaines, et trois colloques aux titres évocateurs attestent à la fois de cette généralisation de la notion, de sa dispersion... et de son imprécision : en 1959, Sens et usages du terme structure (R. Bastide dir., Mouton, 1962), en 1957, Notion de structure et structure de la connaissance (Albin Michel, 1957) et, en 1959, Entretiens sur les notions de genèse et de structure (Colloque de Cerisy, Mouton, 1965). Ils mobilisent alors savants des sciences de la nature, sociologues, anthropologues, psychologues, économistes, historiens, théoriciens de la littérature, linguistes et philosophes. Signes de Maurice Merleau-Ponty, qui paraît en 1960, atteste de ce que le « structuralisme » est bien devenu, sous ce nom, un enjeu de pensée non seulement interdisciplinaire ou transdiciplinaire, mais aussi « philosophique ».Pourtant, ce dernier qualificatif ne devrait pas désigner un statut de prestige ou de légitimation ultime, mais un « fait » dont l'évidence impérieuse ne va plus de soi aujourd'hui, et réclamerait une mise en perspective historique sérieuse.
Celle-ci rencontrerait inévitablement la difficulté suivante. Chaque discipline a pu reconnaître, sur les bases de son propre développement, un intérêt plus ou moins central pour le concept de structure qu'elle s'est efforcée de définir pour son propre compte (en biologie, en sociologie, en mathématiques, en anthropologie, en linguistique...). Ces thématisations de la « structure » n'ont pas eu lieu en même temps, elles ne sont pas nécessairement isomorphes, elles relèvent de types de rationalité hétérogènes. Enfin, elles ne présupposent pas une « essence » du structuralisme qui leur serait commune.